Dans les échanges, les jeunes ont fait part de préoccupations fortes pour l’avenir. L’écologie arrive au premier plan, avec des interrogations sur une indépendance énergétique de la France qui ferait moins la part belle aux centrales nucléaires dont on ne sait ni traiter durablement les déchets, ni comment les démanteler.
D’autres échanges ont porté sur la recherche scientifique et ce qu’elle peut avoir d’effrayant, comme celle qui s’attache à la « viande in vitro » et sur les modes de consommation de demain.
Ils ont évoqué leur futur dans une Europe qui leur paraît lointaine et technocratique et les moyens éducatifs qui leur permettront de s’épanouir dans un monde globalisé. La France dans dix ans, ils aimeraient qu’on la dessine avec une part de rêve…