Les défis auxquels la France et l’Allemagne sont confrontés aujourd’hui sont souvent similaires, de natures diverses (écologique, sociale, économique) et de plus en plus complexes. Les deux pays y répondent différemment. Une réflexion commune pourra faire émerger des solutions plus propices à la prospérité et au bien-être durable des deux sociétés.
C’est l’objectif du Forum pour l’avenir franco-allemand. Il entend pour cela s’appuyer sur les expériences locales et la capacité d’innovation des acteurs.
La ségrégation résidentielle désigne l’inégale répartition dans l’espace urbain de différentes catégories de population. Elle peut résulter de choix individuels, motivés par la recherche d’un entre soi, ou de phénomènes de relégation, liés notamment au prix des logements.
Comment a-t-elle évolué en France sur le long terme ? Quelles sont les catégories de population les plus inégalement réparties (ouvriers, employés, cadres, immigrés, ménages modestes…) ? Les évolutions de la ségrégation suivent-elles des tendances similaires d’une agglomération à l’autre ? Quelle a été la contribution du logement social à la mixité sociale des quartiers ?
Les préfets qui piloteront la transformation de l’administration dans chaque région, notamment dans les nouvelles capitales régionales, ont été nommés le 22 avril 2015 en Conseil des ministres. Une liste provisoire des villes susceptibles de devenir chef-lieu des régions ayant fusionné sera prochainement élaborée par le Gouvernement et mise en débat auprès des Conseils régionaux, des élus locaux et des assemblées parlementaires. Si pour certaines régions une ville semble s’imposer comme capitale régionale, dans d’autres ce choix suscite des débats. C’est le cas notamment pour la région Bourgogne – Franche-Comté, la Normandie ou encore la région Languedoc-Roussillon – Midi-Pyrénées.
Intégrer les préoccupations écologiques dans l'activité économique implique de transformer les emplois, les compétences et les formations. Anticiper ces transformations et identifier les besoins actuels et futurs de compétences en lien avec la transition écologique sont des enjeux cruciaux.
Projets d’aéroports ou de zones commerciales, déploiement de la 5G, projets de taxes sur les carburants, arrêts de centrale nucléaire, programme d’enfouissement de déchets nucléaires… souvent, les décisions publiques qui ont partie liée à la transition écologique, mais aussi plus largement aux enjeux des « Soutenabilités » à notre manière d’organiser la société, de répartir les efforts, ne parviennent plus à « faire autorité » et se voient contestées.
Le Printemps de l’Économie est un cycle annuel d’événements autour de l’économie destiné aux jeunes. Ces événements ont été organisés du 13 au 16 octobre, exclusivement en ligne à cause de la situation sanitaire. Le thème de cette édition était "Guerres et paix - Quels combats pour un monde plus solidaire ?". France Stratégie, partenaire de l'événement, a été chargée cette année de l'organisation d'un débat.
La transition écologique est un des moyens d’assurer la résilience à long terme de notre économie. Et cette transition ne se fera pas sans une implication forte des collectivités locales.
« Dis-moi où tu habites, je te dirai pour qui tu votes » ; dans de nombreux pays, cette règle se vérifie de plus en plus. La carte des votes pour le « Leave » ou pour le « Remain » lors du référendum britannique sur l’appartenance à l’Union européenne l’indiquait clairement.
Dans « Le Monde » du 18 octobre, le sociologue Louis Chauvel accusait le dernier rapport de France Stratégie de nier le déclassement systémique dont la société française serait victime. Jean Pisani-Ferry, le commissaire général de l’organisme, lui répond.
La biodiversité connaît une érosion massive et rapide à l’échelle planétaire, comme l’a démontré l’Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES), le « Giec de la biodiversité ». Parmi les déterminants de cette destruction du vivant, l’artificialisation des terres joue un rôle essentiel.