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Événements
Publié le
Jeudi 06 Février 2020
Jeudi 06 Février 2020
13h00 à 13h45
La biodiversité connaît une érosion massive et rapide à l’échelle planétaire, comme l’a démontré l’Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES), le « Giec de la biodiversité ». Parmi les déterminants de cette destruction du vivant, l’artificialisation des terres joue un rôle essentiel.
Compte rendu
Date de publication: 
Mardi 11 Février 2020

L’étalement urbain et le grignotage progressif des sols par des constructions, des routes ou des parkings sont en effet à l’origine de la destruction d’habitats naturels et de continuités écologiques permettant à la faune sauvage de circuler. C’est pourquoi le plan biodiversité présenté par le gouvernement le 4 juillet 2018 prévoit d’atteindre à terme l’objectif de « zéro artificialisation nette » (ZAN).

Un objectif dont France Stratégie s’est emparé, à la demande des ministres de la Transition écologique et solidaire, de la Cohésion des territoires et de la Ville et du Logement, afin d’en préciser l’échéance et d’identifier les leviers contribuant à son atteinte.

Quels sont les effets de l’artificialisation des sols sur la biodiversité et le climat ? Quelles sont les principales causes de ce phénomène ? Est-il homogène sur l’ensemble du territoire français ? Peut-on réparer l’artificialisation ou en limiter les dégâts ? Comment cette question est-elle traitée dans les territoires et à l’étranger ?

Autant de questions auxquelles Marie Dégremont et Julien Fosse, experts à France Stratégie, ont apporté des éléments de réponse lors d’une webconférence le 6 février 2020.

Sur le même sujet, consultez le rapport et le dossier de présentation.

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