En économie aussi, "pas de conneries" !

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11 mois
Le 30 août 2013, les États-Unis s’apprêtaient à déclencher des frappes aériennes en Syrie, où plus d’un millier de civils avaient été tués dans une attaque au gaz sarin perpétrée par l’armée du président Bachar Al-Assad. Mais quelques heures avant que les frappes commencent, le président des États-Unis, Barack Obama, les annula, à la grande surprise de ses alliés. Au lieu de cela, les diplomates américains scellèrent un accord avec Vladimir Poutine, confiant aux Russes la tâche de faire disparaître les armes chimiques de l’arsenal syrien. La guerre civile syrienne s’est poursuivie, sans que les États-Unis y soient directement impliqués.

Les Britanniques à l'épreuve de la raison

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11 mois
Si les électeurs britanniques décident, lors du référendum du 23 juin, de quitter l’Union européenne, ce ne sera pas pour des raisons économiques. Peut-être choisiront-ils le Brexit parce qu’ils souhaitent retrouver leur totale souveraineté, parce qu’ils détestent Bruxelles ou parce qu’ils veulent que les migrants rentrent chez eux, mais certainement pas parce qu’ils en attendent de grands avantages économiques.

Tirer le meilleur du marché unique européen

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11 mois
Le projet européen est aujourd’hui en plein doute, entre une promesse de prospérité qui vacille et la perception fréquente que l’Europe creuse les inégalités. Dans cette nouvelle Note du CAE, les auteurs, Vincent Aussilloux, Agnès Bénassy‐Quéré, Clemens Fuest et Guntram Wolff, recommandent de ne pas lâcher sur l’intégration des marchés – une nécessité d’autant plus forte dans une économie de plus en plus numérique – mais de mieux accompagner cette intégration à l’aide d’outils modernes de lutte contre l’évasion fiscale et sociale. Les fonds européens devraient être progressivement recentrés sur les domaines où les retombées entre États sont fortes.

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